20 minutes de retard au départ de La Roche, mais j'attrape la correspondance à Nantes sans trop de problèmes.
Le wagon du TGV est un spécial pour enrhumés : ça tousse et renifle de tous bords, je ne dépareille donc pas trop.
Je passe moins inaperçu dans le métro avec mon chargement digne d'un baudet du chemin de Stevenson. Je sue et je trime et arrive tant bien que mal au pied de l'hôtel après moult pauses. Dernier coup de grâce, la chambre est au cinquième étage sans ascenseur.
En route pour le magasin de cycles, je m'arrête à la pharmacie qui fait des promos sur les deux boîtes de Fervex. J'en prends qu'une cependant, espérant bien me débarrasser de mon rhume avant mon retour en Vendée.
Puis vient le moment tant attendu de cette montée parisienne, la récupération de mon nouveau compagnon de voyage, habillé sobrement de vert. Je lui rajoute le porte-bagage arrière de Hammer, et me voila déjà parti sous les routes ensoleillées de la capitale.
Petit arrêt aux buttes Chaumont, où je photographie ma nouvelle monture.
Je le ramène à l'hôtel et lui rajoute le compteur, le bidon et le sac-guidon.
Le soir je retrouve Olivier pour une visite dans un Paris calme et illuminé. Manque de pot j'ai zappé l'appareil photo ; pas d'images donc des bords de Seine sous une lune parfaitement claire.
Voici donc quelques clichés d'une précédente virée parisienne...
Statue de Simon Bolivar, véritable père de l'indépendance de nombreux pays sud-américains, que je risque fort de retrouver d'ici quelques mois. La statue a été offerte à la ville de Paris par le Vénézuela, la Colombie, l'Equateur, la Bolivie et le Panama.
Un autre grand libérateur, plus hexagonal celui-ci.